En raison d’une difficulté à détecter les nombreux et divers polluants rejetés par intermittence dans les milieux aquatiques, une équipe de scientifiques a mis au point une méthode peu conventionnelle, mais peu coûteuse et fonctionnelle.
Et oui, ces chercheurs britanniques utiliseraient des tampons hygiéniques comme indicateurs de pollution. En effet, leur coton naturel et non-traité serait idéal pour absorber les produits chimiques (e.g lessive, cosmétiques), qui, indétectables à l’œil nu, brilleraient sous une lampe UV permettant alors la détection du polluant dans le milieu.
Les filles, la prochaine fois que vous faîtes tomber un tampon-mini de votre sac, tenez-vous droite et assurez l’assemblée que vous êtes experte en bio-indication !
Marion Guillaumin